1g |
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3 4 | ||
4 g
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Détermination
de l'âge |
Le plumage juvénile subsiste peu, selon la date d'éclosion, les
premières plumes du plumage postjuvénile apparaissent fin juillet début
août. L'oiseau juvénile puis postjuvénile est noté 1Y jusqu'au 31
décembre, il devient alors
2Y. |
Le plumage juvénile Outre sa coloration très différente de l'adulte, le plumage juvénile s'avère peu structuré. Les barbes des plumes portent peu de barbules. Ces plumes de nid, temporaires, lâches et fragiles isolent mal le corps et doivent être renouvelées rapidement. |
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2 | 3 | ||
Les PC, MC et GC
juvéniles présentent une extrémité chamois, cette particularité
disparaîtra avec la première mue. Le sexe de l'oiseau juvénile reste
indéterminable. |
Les GC ne seront pas toutes renouvelées, la mue commencera par les plus proches du corps. |
Les rectrices juvéniles montrent une forme étroite et pointue, elles mueront, sauf perte accidentelle, lors de la mue postnuptiale. |
Le plumage postjuvénile La perte de plumes constitue un handicap pour le jeune oiseau.
Le renouvellement nécessite un apport important d'énergie ce qui justifie
une mue partielle. |
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1 h f2 HB Ginn & Ds Melville indiquent que la mue postjuvénile débute à l'âge de 7-8 semaines. Cet oiseau (2) probablement né tardivement, termine sa mue et peut-être est-il déjà en migration. Clin d'oeil: rougegorge en bigoudis | |
2 |
3 |
4 |
La distinction entre les
PC, et MC juvéniles et renouvelées ne présente aucune difficulté,
les plumes postjuvéniles ne présentent plus de taches apicales chamois.
Les GC internes renouvelées (GC3-10) ont perdu cette tache ou
celle-ci apparaît très petite. Les CG1-2 qui conservent une tache
importante ne sont pas muées. |
L'intérieur de la mandibule supérieure reste clair jusqu'en hiver. |
Les rectrices juvéniles restent en place jusqu'à la deuxième mue dite postnuptiale. La forme pointue évoluera avec l'usure et la distinction devient difficile à la fin du printemps. |
Le plumage postnuptial | |
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4 |
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Détermination du sexe Le plumage ne fait apparaître aucun dimorphisme sexuel, et la mesure alaire varie suivant la provenance géographique ce qui la rend inutilisable. La femelle est dotée chant certes qualifié de moins riche mais suffisant pour rendre ce critère inopérant. |
Détails |
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© 2004
Gaston Gast
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